Inspiré de contes nippons, “Yumé” raconte le périple d’une héroïne qui se fait dérober son ombre. Une quête initiatique l’attend, peuplée de créatures mystérieuses et magiques. Sur scène, une succession de jeux d’ombre et de lumière nous plonge dans le rêve de la protagoniste. Autour de la danseuse, objets et étoffes prennent vie, portés de main de maître par quatre artistes vêtu·es de noir et tapi·es dans l’obscurité. Invisibles à l’œil nu, la tradition japonaise les nomme Kuroko. Cet art de l’illusion transporte adultes et enfants dans des contrées fantastiques entre océan et montagne, pour nous mettre, littéralement, la tête dans les nuages.