LALALAR
Avec leur mélange de psychédélisme qui pourrait aussi bien provenir de la ville d’Istanbul que des westerns spaghetti, de funk anatolien et de sampling, Lalalar porte la future-nostalgia à un niveau supérieur. Formé par trois figures majeures de la scène musicale turque, le groupe suscite un grand respect dans la sphère musicale. Grâce à leurs lignes de basse de film rétro, leurs rythmes électroniques dérangés, leurs guitares flamboyantes et leurs samples soigneusement sélectionnés, vous aurez l’impression de vous retrouver dans votre émission culte préférée des années 80. Le premier single « Isyanlar » se traduit par « rébellions », ce qui donne immédiatement une idée de ce qui se passe sur scène lors d’un concert de Lalalar : il n’est pas question de rester immobile.
KABYLIE MINOGUE
Après une Boiler Room enflammée au Bikini qui les a révélés comme l’un des groupes les plus excitants de la scène électronique, Kabylie Minogue ne cesse d’arpenter les plus belles scènes (Nuits Sonores, Cabaret Sauvage, Pete The Monkey, l’Institut du Monde Arabe, Grand Palais). Leur musique est un tissage entre les rythmes orientaux et l’énergie de la trance des années 90. Distillée, épurée et dans un fracas révolutionnaire, leur musique est une invitation à la danse et se pose comme un acte fondateur, militnat, furieusement novateur et fédérateur.
TUNE ZITOUNE
Tajinewave (tajine synthwave, synthpunk oriental) – Metz (Vallée de la Fensch)
Auto-proclamé émir de la tajine-synthwave, Tune Zitoune c’est le sentimentalisme de Sidi Bel Abbes en promo dans les plus beaux lidls messins. Du punk électronique qui se soule au thé à la menthe pour oublier ses chagrins d’amour.