Ah, les lapins blancs ! Il suffit d’un chapeau ou d’une poche, pour les voir apparaitre, comme par magie. Ils sont comme ça, c’est plus fort qu’eux… Quand on met la main sur l’un d’eux, ou plutôt quand lui, le malicieux animal, met sa petite patte tendre sur nous, que faire ? Lui laisser nous conter ses histoires secrètes et poétiques, bien entendu. Avec quelques mouchoirs, notes de guitare et autres bricoles maniées avec beaucoup d’adresse, le duo Florschütz & Döhnert fait appel à l’imaginaire des jeunes, et moins jeunes, spectateur·rices. L’infime devient grandiose, l’ordinaire unique, et la scène un cosmos où tout, absolument tout, devient possible.
Idée, jeu et scénographie – Michael Döhnert, Melanie Florschütz
Collaboration artistique – Joachim Fleischer, Werner Hennrich, Hendrik Mannes
Musique – Michael Döhnert
Costumes – Adelheid Wieser
Peintre décorateur – Wolf Dieckmann