Partir à la rencontre de familles qui viennent de divers pays et qui vivent en France, de mères et de pères, qui chantent des berceuses dans leur langue «naturelle» à leur bébé, tel est le principe de ce travail cinématographique singulier. Trois caméras permettent de ne rien manquer des interactions parents-enfants et de mieux s’immiscer dans ce temps particulier et intime de la berceuse. À ce jour existe une collecte de trente-six berceuses, collecte répartie sur trois films, trois saisons.
Ouvert en particulier à un public universitaire travaillant sur les questions liées aux langues et aux migrations, cette soirée est pensée comme une soirée d’échange autour d’un film composé à partir des trois saisons de berceuses.
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